Sur le chemin du retour [pv Yizu]

Nous avions traversé la foule des rues de Konoha d'un bon pas sans trop nous presser pour ne pas paraître étrange aux yeux des villageois. Nous avions passé la porte sans nous camoufler. Pas besoin, le Kage avait sûrement signalé notre présence aux portiers qui nous laissèrent sortir sans histoire mais en nous regardant d'une drôle de façon. Je ne leur ai pas adressé la parole. Ils ne le valent pas. Tenant Yizu par la main, nous avions avancé jusqu'à ce que nous ne soyons plus visibles des gardes et des aigles de Konoha. Je lui lâche la main et arrête de marcher. Si je lui lâche la main c'est non seulement pour ne pas la gêner d'avantage qu'elle ne l'est maintenant, et aussi pour ne pas lui briser les doigts.

Je serre les poings tellement forts que mes jointures sont blanches, puis je soupire et je relâche mes muscles. Ce Kage m'a rapellé de très mauvais souvenirs. Moi qui essaye le plus possible d'échapper au passé, voilà que j'y replonge, forcé. Mon regard se perd dans le vide. Il faut que je me calme. Je prend mon visage dans mes mains et je reste ainsi quelques secondes avant de me retourner vers le village que nous ne voyons plus, puis de nouveau vers Yizu. Je détend à nouveau mes traits pour ne pas lui paraitre impoli. Elle a bien joué la comédie mais je me doute bien que ça n'a pas du lui faire plaisir.

- Excuses-moi...ça a du te gêner j'aurais peut-être pas dû...

Je suis conscient d'avoir "imposé" le contact à une personne qui apparemment à toujours tout fait pour l'éviter. Je me dégoûte moi-même. J'ai l'impression d'agir en Kage, en dominant et de m'imposer. Je n'ai jamais voulut ça. J'espère qu'elle ne m'en veut pas trop. Je ne sais pas quoi faire pour me faire pardonner. Cela viendra sans doute en route. Pour le moment, je me remet à marcher et je garde la tête basse, ma besace sur l'épaule. Nous marchons d'un pas tranquille. Nous avons toute l'après-midi pour parvenir au conseil. Autant dire que nous avons du temps.

La tristesse que j'ai simulé tout à l'heure, je n'arrive pas à la faire partir. Peut-être que finalement je ne jouais pas. Je suis en colère et en même temps cette peine pince mon coeur et le glace à nouveau. C'est dommage. Yizu avait presque réussi à le décongeler ce matin. J'ai faillit tout faire foirer tout à l'heure j'en ai conscience. Heureusement que je sais rester maître de moi-même et peser mes mots. Yizu a du ressentir ma colère alors qu'elle, semblait follement exitée à l'idée de pouvoir le tuer. Elle avait été exitée d'une façon positive, dans la joie et la bonne humeur, moi c'était le contraire. Il me semle que je lui devais des explications.

- Ce Kage...il ressemble physiquement et mentalement à celui qui a fait exécuter mes parents quand j'étais petit...je suis désolé d'avoir réagit comme cela mais...c'était...trop...

Je ne la regarde pas. Je laisse mes yeux vagabonder tranquillement sur le paysage. Je sais qu'elle m'écoute. Elle porte encore ma cape. Ca ne me dérange aucunement. Elle lui va bien. Je suis apaisé. Le Takahiro qu'elle a rencontré ce matin auprès de l'arbre et revenu. Je la regarde enfin. Elle a oté la capuche. Je vois son visage. Je ne comprendrais décidement jamais les gens. Moi qui n'ait jamais été jugé sur mon physique ou plutôt méliorativement en tous cas, je ne comprend pas ceux qui la jugent et ne peux la juger négativement moi-même. C'est tellement dommage qu'elle n'aie pas plus confiance en elle à cause de son physique...

C'était terminé, il sortait enfin du village de Konoha. Takahiro lui tenait encore la main, ils devaient aller plus loin avant d'arreter de jouer la comédie, on ne sait jamais si quelqu'un était derrière eux. Mais finalement après une courte marche qui les mena assez loin du village, il lui lacha la main. Il n'était pas la peine d'être psycologue pour voir que Takahiro n'allait pas bien. Il semblait enervé, il avait du mal à se controler maintenant. Yizu le regardait un peu curieuse, c'était étrange, elle n'aurait jamais cru le voir réagir ainsi.Elle ne dit rien, elle préfèrait le laisser se calmer, après tout il devait avoir une bonne raison pour avoir réagit tout de suite à l'instant. Yizu elle était encore partager entre deux sentiment. Le gêne qu'elle avait ressentit quand il l'avait toucher, et le deuxième était encore l'exitation, elle avait hate de revenir pour affronter cet homme. Enfin elle ne savait pa si c'était elle qui devrait se charger de lui, elle verrait bien plus tard de toute façon se n'était pas le moment.

Yizu fut étonnée quand Takahiro s'excusa de l'avoir gêné, Yizu elle avait legerement baissé les yeux. C'était vrai qu'elle était gêné, mais bizarrement, elle allait laisser pasé. Elle nallait pas en tenir compte, pour elle s'était dans le cadre de la mission et puis c'est tout. Elle releva donc son visage qui avait retrouvé un air calme et serein, elle ne montrait pas de gêne, elle ne montrait plus rien. Elle prit sa voix habituelle et lui répondit.

- Ce n'est rien ... Nous étions en mission, il fallait jouer le jeu ....

Yizu était redevenue comme elle l'était la première fois qu'il s'étaient vues. Elle voulait lui montrer que se n'était pas important et qu'elle n'en tenait pas compte, de toute manière même si elle en tenait compte elle ne dirait ni ne montrerait rien. C'est vrai que sa l'avait touchée mais bon, Takahiro était quelqu'un de spécial, et elle remarqua qu'en sa compagnie elle aussi devenait bizarre, enfin encor eplus que d'habitude donc elle n'y pensa plus. Elle préfèrait laisser sa de côté. Elle n'en reparla donc plus, elle esperait juste que Takahiro ferait de même. Yizu regardait Takahiro, sa se voyait bien qu'il y avait un problème. D'ailleurs Takahiro reprit la parole, apparement il expliquait à Yizu pourquoi il était dans un tels état. Yizu l'écouta sans dire un mot.

Elle ne pouvait pas vraiment le comprendre même en essayant. Yizu aussi avait des parents, et eux aussi ont été assassinés, mais la différence c'est que Yizu était contente, elle aurait même remerciée les meurtriés. Mais elle supposa que ses parents à lui devaient être des gens bien, et aiment. Yizu elle n'avait pas eu des parents comme sa, elle était comme leur servente, une pauvre bonne. Ils ne lui avaient jamais donnés le moindre amour et c'est surement pourquoi elle était devenue ainsi. Yizu n'allait pas dire à Takahiro son histoire car sa ne serait peut-être pas une bonne idée, se serait même le contraire. Elle n'était pas douée pour se genre de situation, que devait elle faire ? Le réconforter, sa c'était impossible elle n'en était pas capable et sa ne lui ressemblait absolument pas. Elle allait juste lui dire une phrase qui pourrait ressembler à quelque chose de sympathique, histoire qu'il se sente mieu. Enfin elle était persuader qu'il allait se reprendre assez vite.

- Dit toi que bientôt il sera mort ! Il faut simplement être un peu patient, car de toute évidence il sera dans nos prochaines cibles !

Oui c'était une façon d'être gentille, lui dire qu'on le tuera bientôt et qu'il n'aura plus a s'en faire pour se pauvre type. Enfin bref. Yizu commença lentement à marcher. Il faisait beau, le soleil se montrait enfin, le retour allait être agréable, au moin il n'aurait pas du pluie et du vent, se qui est très gênant pour marcher. Après cinq minutes elle se rendit compte que sur ses épaules se tenait toujours la cape de Takahiro. Elle l'enleva donc doucement et la lui tendit.

- Tiens, je te la rend, je n'en est plus besoin, mais elle ma été bien utile.

La dernière partie de la phrase équivalait à un merci, c'était pas très facile à comprendre mais c'était comme ça. Elle redevenait la femme peu bavarde. Elle continua d'avancer sans regarder Takahiro. Elle se dit que garder ses distances était bien mieu que sa soit pour lui ou pour elle.

Yizu est redevenue froide et distante. Je sourit en l'entendant me rassurer par deux fois. Elle a le don de m'amuser. Ce n'est pas méchant c'est juste qu'elle change si rapidement d'état qu'on dirait qu'il existe plusieurs Yizu. Je sais qu'il n'y a qu'un seul Takahiro mais qu'il se contente de changer de masque. Avec elle c'est si différent. On dirait deux personnes qui se relaient maladroitement. Elle a fermé son visage et me rend ma cape. Je la prend. Elle est encore chaude. Si je n'ai pas rêvé elle m'a glissé un "merci" déguisé. Ca y est. Je l'ai percé à jour et je ne peux m'epêcher d'y réfléchir.

Je la regarde me devancer sans me regarder. Je plie plie délicatement la cape et la range soigneusement dans mon sac. J'ai envie de répliquer à sa phrase mais n'ayant pas envie de la froisser ou de lui faire prendre la mouche, je pèse mes mots. Si elle est vraiment perspicace elle comprendra, mais elle se dira que ce n'était peut-être pas le véritable sens de ma phrase, alors je la laisserais dans le doute. Voilà le meilleur moyen de discuter avec elle. Après tout c'est un peu ainsi qu'elle aime parler aux gens. Des phrases dites d'un ton neutres débordantes de sous-entendus. Je réponds donc a son "je n'en ai plus besoin" :

- Tu n'en as jamais eu besoin...

C'est une simple phrase qui répond à la dernière qu'elle a prononcé. Elle peut paraître anodine mais elle ne l'est pas. C'est à elle de voir si elle veut jouer au détective, trouver des anagrames, chercher de potentiels synonymes ou encore remplacer chaques lettres par celle qui la suit dans l'alphabet. Je souris amusé. Elle se compliquerait la vie, mais si elle veut s'amuser elle peut bien tenter.

Nous nous écartons du chemin pour nous enfoncer dans la forêt. Nous sommes bien plus discrets ainsi, et pouvons plus facilement perdre nos potentiels poursuivants, si ce "cher" Hokage est encore un peu trop soupçonneux. Je repense à ce qu'à dit Yizu un peu plus tôt. Même si ce n'est sûrement pas la cible prioritaire du conseil son heure viendra bientôt et je me faire un plaisir de me parer du masque de la faucheuse, mon préféré.

Je sent la même joie que celle de Yizu m'envahir. Finalement elle m'a bien remonté le moral avec ses phrases alambiquées. Je la laisse prendre la tête. Si elle ne veut pas rester près de moi c'est à elle de voir, moi, ni l'un ni l'autre ne me gène. Je regarde de temps à autres derrière nous pour repérer d'eventuels ennemis mais rien ne vient. À croire que nous sommes toujours invisibles à l'abris des grands arbres. Ame doit être à quelques heures de marche. À ce rythme là nous serons largement en avance et j'aurais même le temps de prendre une douche avant le conseil. Une douche. Le véritable bonheur pour moi qui déteste être sale. Non pas que je sois en ce moment même vraiment sale, mais je souhaite plus me purifier du combat de la nuit passée.

Je regarde à nouveau Yizu. Une question me brûle les lèvres mais je ne sais pas si elle sera fachée. Je préfère me taire et chercher la meilleure façon de poser la question mais rien ne vient. C'est bien la première fois que je suis dans cet embarras. Si je me plante dans la formulation je suis grillé à vie, ça je le sens bien. Et elle, si proche de moi doit bien sentir mon hésitation aussi. Oh et puis tant pis ! Ca passe où ca casse autant le dire polimment mais je suis sans doute trop curieux :

- Yizu ? De qui tiens-tu la couleur de tes yeux et de tes cheveux ?

Yizu marche maintenant devant Takahiro, elle ne le voit plus mais sens sa présence non loin d'elle. C'est mieu ainsi, ne pas le voir, voilà se qu'elle préfère. Ce n'est pas qu'elle ne l'aime pas mais il est tellement spécial qu'elle s'attend à tout et n'importe quoi de sa part, et elle avait peur d'avoir une réaction trop visible face à ces phrases. Juste après lui avoir rendu la cape, Takahiro lui di qu'elle n'en avait jamais eu besoin. Yizu était assez intelligente pour comprendre. Sa n'avait rien à voir avec le fait qu'elle avait des armes, c'était autre chose. Elle avait facilement compris que son physique ne gênait pas Takahiro et qu'il trouvait dommage qu'elle ce cachait. C'est peut-être ce qui l'embetait le plus chez Takahiro, il était le premier à lui dire de ne plus ce cacher et de s'assumer et de se montrer. Yizu n'avait pas peur de le faire mais ne pas se montrer aux yeux des autres était une vie bien plus calme pour elle.

Elle ne répondit pas à sa phrasen mais esquissa un léger sourire qui disparut rapidement. Takahiro ne put pas voir se sourire mais il put savoir qu'elle ne l'avait pas mal prit car elle n'avait dégagé aucune onde négative. Ce qui l'amusait aussi était que Takahiro était un peu come elle, lui au moin comprenait les sous entendu. C'était une conversation spécial et intriguante, il était intelligent et sa se voyait et s'entendait. Pour l'instant elle marchait calmement. Elle ne pensait plus vraiment à Takahiro bien qu'elle savait qu'il la suivait de près. Yizu réussissait facilement à se détendre, elle se visait l'esprit et avançait sans penser. Elle ne regardait pas autour d'elle, elle regardait droit devant. Oui, la foret était belle, mais ses yeux de la regardait pas vraiment, il était ouvert mais ne faisaient pas vraiment attention. Elle était un peu comme déconnectée. Mais elle fut vite revenue sur terre. Le son de la voix de Takahiro vint jusqu'à ses oreilles. Elle savait que Takahiro pouvait dire des trucs qui la gênait mais elle se doutait pas qu'il irait parler de ça. Il osa parler de son apparence.

C'était un vrai sujet tabou. Peu de personne lui avait parlé de ce physique si spécial. Les gens qui en avait parlé étaient soit morts soit ils avaient été assez malin pour ne pas se faire voir et entendre quand il parlait d'elle. Yizu à toujours mal prit cette conversation car les gens ne faisaient que ce moquer d'elle quand elle était enfant, maintenant c'est plutôt de la crainte et du mépris qu'on voit dans le regard des gens. Le coeur de Yizu battait legerement de plus en plus vite. Elle arreta de marcher. Elle se retourna rapidement et approcha de Takahiro. On ne voyait rien sur son visage, elle était en colère mais sa ne se voyait pas. Elle s'approcha de lui et était maintenant assez près. Elle le regarda dans les yeux. D'habitude c'était maintenant qu'elle se jetait sur la personne, mais la elle ne le fit pas. Elle regarda Takahiro dans les yeux. Elle put voir que son regard était différent, oui, différent de tout ce qu'elle avait vu. Elle ni voyait ni peur, ni moquerie, elle n'y voyait rien, ou peut-être un peu de curiosité mal plassée. Elle sut directement que ce n'était pas méchant. Elle n'allait pas le frapper, peut-être parsqu'elle en était incapable, le visage de Takahiro la fit renoncer à cette idée. Elle se retourna donc. Elle fit un ou deux pas et s'arreta. Elle prit une légère inspiration et parla. Sa voix fut calme et posé, malgré qu'on pouvait entedre une légère vibration difficilement compréhensible.

- Je ne sais pas ! Je suis ainsi c'est tout, ceux qui mon crée étaient différents de moi. Elle était brune et lui chatain et tout deux les yeux marrons ! D'après eux je serais une erreur de la nature ou autrement dit j'ai été loupé !

Yizu parlait normalement elle n'était pas triste non elle avait accepté tout cela depuis bien longtemps alors qu'elle n'avait pas encore 10 ans. Elle n'avait pas dit le mot parent, elle avait dit « ceux qui mon crée », car pour elle ce n'est pas des parents. Des parents sont des gens qui donnent de l'amour et qui prennent soin et protège leur enfant, elle elle n'a jamais connu sa. Yizu ne se concidère pas comme une erreur de la nature comme le disent les autres, elle se sent juste un peu différente.

- C'est surement grâce à cette différence, que contrairement à toi je ne souffre pas de la mort de mes créateurs. Mon physique les à tellement choqué que pour eux je n'était qu'une bête de foire, bonne à travailler comme une servante. Peut-être est-ce une chance que je sois ainsi, personne ne ma jamais accepté, je n'est donc jamais eu à pleurer la mort d'un proche puisque je n'en avait pas.

Cette différence l'avait rendu plus forte mais aussi plus faible et sa elle ne s'en rendait compte qu'aujourd'hui. Sa faiblesse est du à cause du comportement qu'à Takahiro envers elle. Qui aurait cru que ce soit le fait qu'elle soit pour une fois accepter qui la boulverse, c'est surement le manque d'habitude c'est de moin ce qu'elle ce dit.

Yizu était toujours retournée, elle ne voyait pas Takahiro et ne voyait donc pas son visage, elle ne savait pas se qu'il pensait et d'un côté elle ne voulait peut-être pas le savoir. Avoir le moins de contact avec lui c'est ce qui était le mieu, pourtant elle lui parlait, elle lui disait des choses qu'elle n'avait jamais dit à personne. Elle n'avait jamais dévoilé ce genre de chose. Peut-être était-ce une marque de confiance, elle ne savait pas, elle sentait qu'elle pouvait presque se confésser, elle sentait qu'il ne serait pas du genre à la juger, c'était un sentiment bizarre. Et pour la première fois il y avait plein de peut-être dans son esprit. Après un instant Yizu se tourna vers Takahiro toujours aussi calmement.

- Alors la petite histoire de la bête de foire ta plus ?

Elle venait de changer d'attitude, elle n'était plus très sympathique. Peut-être qu'n peutit sentiment négatif l'avait atteint. Elle c'était dit qu'il était possible qu'il demande sa juste pour en savoir plus sur sa bizarrerie. Finalement c'était idiot ce n'était pasça. Elle lui avait fait une remarque méchante alors qu'elle n'aurait pas du car il ne le méritait pas. Au lieu de s'excuser elle se retourna et commenàa à marcher.

- Bon partons ...

En gros cela voulait dire qu'il ne valait mieu ne plus en parler, car sinon elle risquait de lui dire d'autre truc du genre alors qu'elle ne devrait pas car il ne le méritait pas.

Je la regarde. Elle semble réagir plutôt négativement à ma question. Je suis peut-être allé trop loin. Mais il faut que j'en sache plus sur elle, pour éviter de plus grave erreurs à l'avenir. Et aussi pour y voir un peu plus clair dans son esprit. Va-t-elle me répondre ? Elle se retourne et s'approche de moi. Son visage est neutre, mais j'ose croire que si elle s'est approché de cette manière alors qu'elle était si bien partie pour marcher sans s'arrêter, c'est qu'elle est en colère. Elle me fixe, droit dans les yeux et je lui rend son regard sans sciller. Va-t-elle me frapper ? Ce serait bien fait pour moi et je me laisserais faire. Après tout, ce serait entièrement ma faute. Pas la sienne. Mais elle ne fait rien.

Elle se retourne, fait un ou deux pas puis s'arrête de nouveau. Elle va me répondre, alors j'attends sagement sans bouger, sans la quitter des yeux. Je veux savoir. J'ai toujours voulut tout savoir pour ma connaissance et ma culture personelle, mais là c'est différent. C'est comme un sentiment nouveau. Si je sais je peux aider et je peux comprendre. Alors je suis tout ouie à son histoire. Un flot de parole m'inonde mais j'intègre tout et je mémorise vitesse grand V :

- Je ne sais pas ! Je suis ainsi c'est tout, ceux qui mon crée étaient différents de moi. Elle était brune et lui chatain et tout deux les yeux marrons ! D'après eux je serais une erreur de la nature ou autrement dit j'ai été loupé ! C'est surement grâce à cette différence, que contrairement à toi je ne souffre pas de la mort de mes créateurs. Mon physique les à tellement choqué que pour eux je n'était qu'une bête de foire, bonne à travailler comme une servante. Peut-être est-ce une chance que je sois ainsi, personne ne ma jamais accepté, je n'est donc jamais eu à pleurer la mort d'un proche puisque je n'en avait pas.

Elle s'arrête de parler. Je reste tranquillement debout derrière elle, ne cherchant pas à l'interrompre au cas où elle n'aurait pas finit. Alors c'est pour ça. Son histoire m'attriste un peu mais mon visage de marbre tendre ne laisse rien filtrer, du moins pour le moment. Je n'ai pas envieque mon expression de visage la trouble tant qu'elle n'a pas finit et je sais qu'elle n'a pas finit sinon elle serait déjà partie en me laissant la suivre, ou pas. Elle se retourne et me dévisage à nouveau. C'est étrange. J'ai l'impression qu'elle s'est libéré d'un poids en me parlant.

- Alors la petite histoire de la bête de foire ta plus ?

Sa voix est froide et méprisante. Je la regarde, interloqué, mais finalement je sourit gentillement et quand elle se retourne et me dit de continuer à avancer, je la suis, mais c'est pour me mettre à sa hauteur cette fois. Eh oui, si elle croyait que Takahiro allait laisser passer ça, c'était qu'elle ne le connaissait pas encre assez bien. En continuant de la "harceler" gentillement de la sorte je risquait de l'énerver et de me faire frapper, mais au moins j'aurais essayé.

- Je ne sais pas si cette histoire m'a plu je n'ai pas encore eu le temps d'y réfléchir...mais si tu ne tiens ni de ton père ni de ta mère c'est que ton physique est un cadeau du ciel...non ?

Je la regarde et je sourit amicalement. C'est vraiment la première fois que je sourit autant dans une journée sans le faire méchamment. Serais-je malade ? J'espère qu'elle va écouter tout ce que j'ai à dire. Si elle ne le fait pas, j'aurais tout simplement gaspillé de la salive et de l'énergi mais ça ne me tuera pas.

- Si tu n'aimes pas ce que je dis tu peux me frapper...mais ça ne me fera pas arrêter haha...comment analyser ton physique....mmmh...tu dis que tu as été ratée, moi, sans connaître ton histoire j'aurais dis le contraire. Le blanc de tes cheveux à beau ne pas être de neige, il reste blanc. Et le feu de tes yeux correspond au courage et à la sagesse. Le feu, la lumière...c'est plutôt encourageant...Sauf peut-être pour les ennmis qui voient ça comme le feu qui va les terrasser...

Je rit doucement et regarde droit devant moi. Elle a l'air de m'écouter. Tant mieux. Je continue.

- Pleurer la mort d'un proche est difficile j'en ai fait les frais plusieurs fois mais je m'en suis toujours plus ou moins remit. Mais cela veut dire que maintenant tu es face à un dilemme plutôt concentré...je t'accepte telle que tu es....redoutes-tu ma mort ?

Cette fois c'est mon tour de m'arrêter. Elle s'arrête aussi. Je la regarde droit dans les yeux avec un sourire maliceux, sondant le moindre de ses traits, sondant son âme à travers ses yeux.

Yizu marchait donc, elle avait reprit la même allure que précèdement, cependant une chose avait changé cette fois. Takahiro ne marchait plus derrière elle, mais à ses côtés. Que voulait il ? Yizu se doutait bien qu'il n'allait pas arreter de parler si facilement. Finalement il était assez bavard, et il entraînait Yizu dans son jeu. Quand Yizu entendit sa première phrase elle ne montra rien, ni colère ni étonnement. Pourtant son coeur lui avait eu un battement légèrement anormal, il allait un peu plus vite. Yizu elle même ne comprennait pas pourquoi son corps réagissait tant au propos de Takahiro. Oui, c'était le premier à dire ça, mais quand même. Elle avait du mal à ce cerner elle même. D'après Takahiro c'était un don du ciel, vraiment ? Que lui avait apporté ce physique ? Rien, si, la solitude et une grande force de caractère. Etait-ce cela le cadeau du ciel, mais quand elle t-il des inconvénients, elle n'a jamais connu l'amour ni l'amitié, elle aurait peut-être été plus heureuse sans ce physique. Bien sur elle s'en fiche elle est comme elle est et ne veut pas être une autre mais elle , elle ne voit pas ce physique comme un cadeau, ni comme une plaie en fait, elle préfère ne pas trop penser la dessus, elle est juste différente et puis c'est tout. Elle ne répondit donc rien à ce qu'il venait de dire, mais elle l'écoutait.

Rien que le début de la phrase de Takahiro ne lui plus pas. Il la prévenait déjà que ce qu'il allait dire allait surement ne pas lui plaire. Elle redoutait légèrement ses prochaines paroles, car si il allait trop loin peut-être qu'elle ne se retiendrais plus. D'aileurs, rien que le fait qu'il veuille analyser son physique l'énerva, et si il la regardait dans les yeux il aurait put le remarquer. Ses yeux s'étaient légèrement plissés, elle n'aimait pas qu'on l'analyse, et qui avait le droit de le faire ? Personne à part elle même. Elle le laissa cependant parler, mais elle n'allait pas le laisser dire bien longtemps si il continuait ainsi. Elle écouta son point de vu sur son physique, il ne lui faisait que des compliments, c'est arguments étaient peut-être vrai mais elle, elle ne voyait pas les choses ainsi enfin elle ne les avait peut-être jamais vu ainsi. Elle le laissa donc parler car même si il était impoli il était interessant, et offrait à Yizu une nouvelle vision des choses. Takahiro semblait sur de lui, si bien même qu'il laissa échapper un petit rire. Yizu, elle ne changeait pas d'attitude, toujours froide et le regard bien droit. Sa phrase était terminé mais une autre allait venir. Elle sentait qu'elle serait bien pire que les autres.

Yizu s'arreta en même temps que lui après avoir entendu sa phrase.Redouterait-elle sa mort puisque lui la accepté comme elle est. Yizu se posa elle même la question, le regrettrait-elle ? Peut-être, il était le seul à l'avoir vraiment comprit, elle n'avait jamais connu quelqu'un comme lui, il l'avait fait parler, et même sourire, mais il la gênait aussi. Qu'elle conclusion devait-elle n tirer. Soudain elle se rendit compte que l'état dans lequel elle se trouvait ne lui plaisait pas. Cet homme la faisait douter, il la faisait se remettre en question. Tout se quoi en qu'elle elle croyait devient quelque peu flou à cause de lui et sa ne lui plaisait pas. Maintenant la colère se lisait sur le visage de la jeune femme. Elle ne la cachait plus. Elle le regardait dans les yeux mais en même temps elle voyait son petit sourire, sa l'amusait lui. Elle sa ne l'amusait pas. Peut-être voulait il se moquer d'elle c'est pourquoi il la faisait parler, que devait elle penser ? Son corps réagit pour son esprit, elle n'avait pas réfléchit, son poing c'était élancé tout seul, elle y mettait de la force et le dirigeait sur son visage, mais au moment de frapper, elle ouvrit la main et ce ne fut plus un coup de poing mais une claque, assez violente quand même. Si elle avait relaché son poing c'est que d'un côté elle ne voulait pas le frapper, mais d'un autre elle se disait qu'il ne méritait que ça. Maintenant elle était en colère et elle n'allait pas se retenir de parler.

- Tu peux faire de beau discourt sur mon apparence, mais que sait tu dans le fond ? Hein ? Tu ne sais rien, alors tes analyse tu peux te les garder ... je ne t'es pas attendu pour m'accepter ! Si tu veux analyser quelqu'un trouve quelqu'un dautre, je ne suis pas un jouet !

Yizu était en colère, mais malgré cela elle se retenait légèrement, il ne fallait pa non plus aller trop loin, après tout il était dans la même organisation. Mais il était si percevérant dans ces questions que sa en devenait plus que pénible. Elle repenssa à sa dernière question, le regreterait elle ?

- Ne crois pas que parsque tu me fais des compliments sur mon physique, que je verserais la moindre larme quand tu mourras. La seule chose que pourrais me faire ta mort est de l'ennuie, l'ennuie de devoir recruter quelqu'un d'autre ! Tu n'es pas indispensable, j'ai bien pu vivre sans toi, et sa ne changera pas aujourd'hui pour qui te prend tu ?

Elle s'était approchée près de lui, très près et le regardait dans les yeux. On pouvait lire de la colère, mais pas seulement. Oui , il y avait un peu de doute dans ses yeux. On pouvait penser que ses paroles n'étaient pas vraiment exactes. Elle mentait un peu, car il était un peu plus qu'un simple membre de l'organisation. Bien sur, elle n'irais pas jusqu'à pleurer sa mort, mais sa lui fairait un pincement au coeur sans avoir pourquoi. Elle est totalement perdue face à lui, mais malgré tout elle est en colère. Elle n'arrive pas à ce calmer elle même. Son regard est toujours plongé dans celui de Takahiro, il est calme, peut-être que son rgard la calmerait, mais elle détourna les yeux et recula un peu. Peut-être qu'elle ne voulait pas se calmer, c'était le meilleur moyen de garder ses distances avec lui.

- Je n'est besoin de personne, je n'est jamais eu besoin de personne. Ne crois pas que parsque tu connais ma vie tu peux porter des jugement sur moi ! Tu ne sais rien sur ce que j'ai put vivre, tu n'en a même pas idée alors maintenant tu ferais mieu de te taire, si tu ne veux pas que sa soit moi qui te tu !

Yizu était à environ deux mètres de lui et le pointait du doigt tout en parlant, elle était toujours aussi en colère. Elle ne se calmait pas, mais gardait ses distances avec lui car en étant trop près elle sentait qu'elle redevenait confuse, c'était peut-être bizarre ou stupide mais c'était la vérité.

- Maintenant je ne veux plus t'entendre , c'est compris ?!?

Elle se remit donc à marcher et détourna son regard de Takahiro.

Je voit la frappe arriver mais je ne fais rien. Je ne ferme même pas les yeux. Son poing arrive près de mon visage mais je ne bouge pas, la regardant dans les yeux, sans sourire. Le poing se change miraculeusement en claque. Ca fait sans doute moins mal, mais elle y a quand même mit toute sa force. Ma joue chauffe et rougit. Malheureusement pour moi Yizu était une femme donc avait des ongles. Une goutte de sang tombe sur ma tenue blanche. Une seule goutte. Mon chakkra s'arrange de lui-même pour cicatriser rapidement cette égratignure, mais la marque reste. Mon visage a suivit la trajectoire de la claque. J'ai la tête baissée, légèrement de coté, mon visage caché par mes longs cheveux qui ont volé à cause de l'impact.

- Tu peux faire de beau discourt sur mon apparence, mais que sais-tu dans le fond ? Hein ? Tu ne sais rien, alors tes analyse tu peux te les garder ... je ne t'es pas attendu pour m'accepter ! Si tu veux analyser quelqu'un trouve quelqu'un dautre, je ne suis pas un jouet !

Je suis réellement peiné qu'elle le prenne comme cela mais dans sa colère je suis quasiment sûr qu'elle ne peut pas le sentir alors je n'essaye pas de masquer mon sentiment. Après tout elle n'a peut-être pas tort. J'essaye de l'aider sans savoir les détails de son passé. Je suis un imbécile et maintenant je ne sais pas comment me faire pardonner. Je commence à croire que je ne pourais décidement jamais sauver personne. Mes parents, mon ancienne fiancée, ou la magnifique jeune fille qui m'incendie en ce moment même.

- Ne crois pas que parceque tu me fais des compliments sur mon physique, que je verserais la moindre larme quand tu mourras. La seule chose que pourrais me faire ta mort est de l'ennui, l'ennui de devoir recruter quelqu'un d'autre ! Tu n'es pas indispensable, j'ai bien pu vivre sans toi, et sa ne changera pas aujourd'hui pour qui te prends-tu ? Je n'est besoin de personne, je n'est jamais eu besoin de personne. Ne crois pas que parsque tu connais ma vie tu peux porter des jugement sur moi ! Tu ne sais rien sur ce que j'ai put vivre, tu n'en a même pas idée alors maintenant tu ferais mieu de te taire, si tu ne veux pas que sa soit moi qui te tu !

Pour personne. Après tout je ne suis personne. Rien qu'un humain qui essaie de raser la terre de cette immonde vermine que sont le spuissants. Il faut que je me rentre cela dans le crâne. Je sens son regard posé sur moi. Je relève la tête et la regarde dans les yeux de nouveau. Mince elle va voir mes sentiments. Tant pis au point où j'en suis ça ne fait rien. Je vois du doute en elle et de la colère beaucoup de colère. Je suis allé trop loin. Elle détourne les yeux quand la lueur de doute s'amplifie. Elle me pointe du doigts d'un air accusateur.

- Maintenant je ne veux plus t'entendre , c'est compris ?!?

J'ouvre la bouche pour lui répondre mais la referme aussitôt et la regarde s'éloigner le coeur lourd. Je soupire et me remet moi aussi en marche, la tête baissée et les yeux dans le vide, ma main sur la lanière de ma sacoche pour pas qu'elle glisse de mon épaule. C'est tellement dommage j'ai l'impression d'avoir tout gâcher. Ma joue me brule encore un peu. Je reste loin derrière elle pour ne pas la gêner. Je ne sais pas quoi faire pour me faire pardonner. Moi je sais que je pardonne difficilement, mais elle cela doit être encore pire.

Je ne dis plus rien. Je suis sûr que le moindre mot, même d'excuse, suffirait à la décider à me tuer. Un lourd silence s'installe.Moi qui suis d'habitude sûr de moi et calme, réfléchit et posé, je ne sais pas quoi faire. La glace qui s'empare de mon coeur me fait presque suffoquer. Ca a toujours été comme cela. Contrariété = glace. Cepuis que je suis tout petit. Mes ondes doivent parvenir à Yizu mais je ne sens pas les siennes. Je dois la déranger avec ma tristesse. Elle ferait mieux de prendre un peu d'avance.

Sans la prévenir, je pose ma besace à terre et je m'assoie au pied d'un arbre, les jambes repliées, les bras posés sur elles. JE vais attendre qu'elle se soit un peu éloigné et se soit calmée. C'est sans doute la eilleure chose à faire, faire le mort. Mais pourtant ce doute dans ses yeux me trouble encore. Qu'est-ce qu'elle a voulut dire en me regardant de cette manière ?

Je soupire et je me relève, prenant ma besace. Je sais que je risque encore de me faire frapper, mais je ne peux pas rester ainsi, mon esprit n'est pas apaisé. Je n'aime pas cela. Et le sien ne doit pas en être loin non plus. Je reviens près d'elle, je plisse les yeux d'un air hésitant, je lui jette un regard et détourne les yeux. Puis sans la regarder je m'excuse pour tout, d'une simple phrase qui fait chuter toutes les accusations qu'elle avait contre moi en m'incendiant tout à l'heure. :

- Yizu...je suis désolé...

Yizu avançait toujours d'un pas furieux. Elle ne se calmait pas mais essayait. Maintenant que les choses étaient dites sa pourrait surement aller mieu. Tout en marchant elle repenssa au regard qu'avait eu Takahiro quand il avait relevé la tête, Yizu ne pouvait pas fire comme si elle n'avait rien vu. Elle avait put lire en lui une certaine tristesse et du regret. Etait-ce pour elle tout ce regret, non elle en doutait, lui aussi devait avoir un lourd passé. Il était dur pour elle de penser à lui, car elle n'avait l'habitude que de se préocuppée d'elle même. Cette situation était pénible. Mais au moin plus personne ne parlait. Yizu se calmait peu à peu à mesure qu'elle avançait, son corps se décontractait peu à peu, et elle redevenait elle même. Sa allait déjà mieu elle préfèrait se sentir ainsi. Pourtant elle sentait Takahiro derrière elle, elle sentait que son coeur était lourd, elle était apaisé mais pas lui. C'est à son tour qu'elle commença à avoir des remords, c'est elle qui l'avait mit dans cet état, alors que lui n'avait rien fait de mal a part avoir été curieux. Elle regrettait d'avoir été comme ça avec lui alors que la seule chose qu'il voulait c'était la connâitre mieu. Peut-être que si Yizu était si seule c'était parsqu'elle faisait tout pour l'être. Takahiro lui donnait l'opportunité d'avoir quelqu'un qui pourrait ressembler à un ami et elle l'a envoyé bouler. Que devait elle faire ? En tout cas elle ne s'excuserait pas, sa c'était impossible car jamais elle ne pourrait faire une telle chose. Yizu se sentait une fois de plus perdue, devait elle lutter et se replier sur elle même ou devait elle laisser une chance à Takahiro de devenir un peu plus proche.

Yizu n'eu pas le temps de faire quoi que ce soit que Takahiro vint près d'elle. Automatiquement Yizu s'arreta et le regarda. Ses yeux étaient remplit d'excuse, Yizu eu un pincement au coeur, oui elle qui n'est qu'un coeur de pierre venait de ressentir quelque chose. Elle le regarda et l'écouta. Il ne dit casiment rien, mais sa voulait dire beaucoup. Il était désolé. Prmeière fois que quelqu'un lui disait sa. Sa faisait une nouvelle fois quelque chose de bizarre d'entendre ça. La petite bagarre qui avait eu lieu entre d'eux ne lui avait pas plus, elle préfèrait le debut de leur rencontre, peut-être feraient ils mieu de tout oublier et de faire comme au début rester simple et calme. Yizu n'avait pas encore vu Takahiro dans un tels état, et elle n'aimait pas le voir comme ça, c'était encore une première, elle se souciait de quelqu'un d'autre que d'elle même. Yizu prit la décision de faire comme au début et de lui parler de la même façon comme si rien ne c'était passer.

- Tu es vraiment un idiot, et arrete d'avoir cet air de chien battut, si quelqu'un nous voit j'aurais vraiment trop honte !

C'était la façon de Yizu de dire que tout était oublié, elle avait comprit qu'il n'avait pas fait sa méchament, mais par simplemcuriosité. Elle avait aussi comprit quelque chose qu'elle préfèrait oublier. Elle avait l'impression de plaire à takahiro et c'est pourquoi il lui posait tant de questions, alors elle ne lui en tenu pas rigueur. Après avoir dit cette petite phrase Yizu avança, elle remacha lentement. Cette fois elle ne voulait pa que Takahiro marche deux mètres derrière mais qu'il soit à ses côtés, c'était stupide comme situation elle voulait que tout redevienne normal. Yizu allait mieu et sentait que Takahiro aussi. Bizarrement elle avait envie de rire, c'était très stupide, peut-être était-ce la tension qui retombait. Bien sur elle ne montra rien, mais au fond elle les avaient trouvés vraiment idiots tout els deux , enfin passons.

- Au fait, je ne t'aurais pas tué, comme je te les dit sa m'aurais ennuyée de devoir trouver quelqu'un d'autre !

Elle l'avait dit sur un ton neutre mais cela voulait dire que dans le fond elle tenait un peu à lui. Elle ne le disait pas clairement mais en meme temps elle ne changeait pas d'attitude c'était sa façon d'être. Yizu décida de ne pas continuer dans le mélodrame sa devenait trop bizarre et sa ne lui ressemblait pas alors les sujets qui fache elle decida de les éviter. En fait, elle ne savait plus trop quoi dire à Takahiro, elle était un peu à cour de sujet. Et elle ne voulait pas revenir sur le fait qu'elle ne voulait pas qu'il meure. Alors avant qu'il ne reponde elle dit quelque chose.

- Je suis certaine que le prochain conseil sera interessant et j'espere que cette fois on me donnera une mission. Sa ne m'amuse pas de ne rien faire ....

Sa phrase n'avait pas le moindre rapport avec le reste mais si elle avait dit sa rapidement c'était pour qu'il ne parle pas du fai qu'elle tenait legerement à lui, elle était un peu gênée d'avoir dit sa, elle esperait juste qu'il n'avait pa comprit. D'ailleurs elle ne le regarda même pas par peur qu'il comprenne. L'ambiance était maintenant un peu plus détendue.

La voix avec laquelle Yizu me répond est denuée de toute agressivité. Je relève la tête et la regarde dans les yeux. Ses yeux ne mentent pas et les miens non plus. Ma pupille ne doit pas être immobile, je regarde tout ce que Yizu me dit implicitement. C'est étrange j'ai l'impression que quelque chose à changé mais qu'il me faudrait du temps avant de pouvoir savoir ce que c'est. Un peu comme si elle était la maîtresse d'un labyrinth et qu'elle essayait de me perdre dedans.

Sa phrase est presque comique. Se moquerait-elle gentillement de moi ? Je sourit légèrement comme pour lui signifier que j'ai compris. Mon regard change d'aspect et je redevient en un clin d'oeil calme et apaisé. Il aura suffit de pas grand chose. Ou bien est-ce que cela parraissait n'être pas grand chose parceque c'était elle qui l'avait fait ? Avec aisance et simplicité. Quoi qu'il ens oit je sens que je suis pardonné, ou tout du moins, en partie. J'ai toujours eu du mal à me pardonner à moi-même.

- Au fait, je ne t'aurais pas tué, comme je te les dit sa m'aurais ennuyée de devoir trouver quelqu'un d'autre !

Je prends d'abord cette phrase pour de l'humour noir et je sourit d'un air amusé. Oui recruter des membres pour l'organisation ne devait pas être une mince affaire. Mais avec sa seconde phrase qui n'avait absolument rien à voir avec le reste de la conversation, je revenais en arrière. Quelque chose clochait. Yizu était quelqu'un de sensé et elle changeait brusquement de conversation. Elle avait quelque chose à cacher ? Je fronce subtilement les sourcils, les yeux rivés sur le chemin.

Ma réflexion doit être visible mais je n'y fait pour une fois pas vraiment attention. Quelque chose m'intrigue dans cette phrase. Si elle a voulut l'éluder de la sorte c'est qu'un double sens qu'elle ne veux pas que je trouve y est caché. C'est un jeu vraiment amusant. Ca y est j'ai trouvé. Je la regarde en biais un sourcil levé mais ne fait pas de commentaire, je serais certainement capable de me mettre encore dans de beaux draps, et elle, dans une colère sourde. Je lui sourit donc intérieurement par pensée. J'ai déjà réussit à faire tomber une barrière entre nous. Conscient du fait qu'elle a essayé d'engager une conversation que je n'ai du coup pas poursuivie, je continue :

- Oui, nous allons avoir le choix il me semble que si nous ajoutons notre ami Hokage sur la liste nous en avons trois...le mizukage avait l'air très intéressant lui aussi...et il y a ce ninja errant...en dernière position...

Yizu ne remarqua pas que Takahiro avait comprit quelque chose, elle n'avait absolument rien vu parsqu'elle regardait à l'ooposé à ce moment là. Elle ve nait de voir un animal passer. Elle reposa ensuite son regard droit devant elle. Takahiro avait raison, maintenant il avait trois dossier. Yizu ne savait pas encore si on lui remettrait la charge d'aller éliminé l'un d'entre eux. Cela dépendait de beaucoup de chose, pas seulement de puissance du ninjas. Mais Yizu se disait aussi que pour un gros morceau comme le Mizukage deux ninjas seraient surement envoyé sur le coup, car il serait vraiment trop bête qu'il soit loupé ou qu'il découvre quelque chose, être deux c'est toujours mieu dans c'est cas la, enfin sa dependait avec qui onétait. Yizu jeta un petit coup d'oeil a Takahiro puis reprit ses reflexion. L'ambiance était maintenant bien plus agréable qu'elle ne l'avait été auparavant.

- Peut-être que d'autres dossiers se rajouteront à ce que nous avons les autres on peut-être des choses interessantes à nous raconter. Mais de toute façon, avant de faire quoi que ce soit, il faudra que nous en apprenions plus sur nos cibles. Par exemple cet Hokage, il avait une grande puissance donc avant de l'attaquer il nous faudra savoir qu'elle son ses aptitudes pour que nous nous adaptions ... Enfin tu sais déjà tous ça ...

Yizu s'arreta car après tout Takahiro était bien au courant de tout ça. L'organisation n'allait jamis tuer quelqu'un sans le connaître avant. Il fallait connaître les possibilité de l'adversaire et envoyer la meilleur personne pour le combattre. Sa faisait un point pour nous et l'ennemi était souvent surpris. Yizu se mit à réfléchir à penser à des choses qui concernait l'organisation. Elle ne connaissait pas tout les membres, et comme elle le pensait depuis un moment elle ferait mieu de tous leur parler, mais pas comme elle l'avait fait avec Takahiro parsque c'était allé beaucoup trop loin.

Yizu continua d'avancer puis se demanda comment et pourquoi Takahiro avait rejoint l'oganisation. Elle ne le savait pas même si elle avait une petite idée, mais rien de bien précis. Elle le connaissait un peu maintenant car après tout ils avait bien discutés.

- Dis moi Takahiro ... pourquoi avoir rejoint l'organisation ? Je demande sa juste par curiosité ....

Ce n'était pas une question mal placé, mais comme Takahiro juste avant elle, elle se mettait à poser des questions et elle aussi voulait le connaître un peu mieu. Ces questions étaient petu-être un peu plus respectueuse que celles de Takahiro qui était trop personnelle. Enfin c'estce qu'elle pensait car elle ne voulait surtout pas se retrouver dans le même situation que précèdement. Elle ne le regardait pas mais attendait qu'il reponde, pour l'instant elle regardit surtout ou elle marchait, car le sol était pleins de racines qui sortaient su sol. Un moment d'inattention et Yizu se retrouverait coucher sur le sol.

Yizu se sentait vraiment mieu elle avait un poids en moin. Depuis tout à l'heure elle se disait que finalement cette enguelade n'était peut-être pas si négative que sa. Au moin ils avaient put parler franchement et maintenant connaissait le point de vu de l'autre, ce n'était pas plus mal. Yizu commençait à penser qu'avec Takahiro ils finiraient peut-être par bien s'entendrent. Tout à coup elle venait de réaliser à ce a quoi elle pensait. C'était la première fois qu'elle se disait qu'elle pourrait être ami ou quelque chose du genre avec quelqu'un. Elle fut tellment absorber par sa pensée qu'elle ne fit pas attention ou elle mettait les pieds, et son pied droit se coinça dans l'une des racines, et evidement elle tomba sur le sol. En temps normal elle aurait régait et se serait dégager avant de tomber, mais la se ne fut pas le cas car elle ne se vit même pas tomber tellement qu'elle pensait.

Elle était donc betement sur le sol, elle poussa un léger soupir, decidement ce n'était pas sa journée, et c'était surtout la honte de ce retrouver dans une telle situation. Yizu tira sa jambe mais elle ne voulait pas se defaire des racines qui la tenait. Yizu voulut donc attraper l'un de ses katanas, mais dans sa chute ils s'étaient défait de leurs fourreau et étaient tombés plus loin. Alors la c'était le pom pom, elle n'avait jamais eu une journée pareil. Elle tenta donc d'attraper ses katanas s'en y parvenir. Elle n'avait pas très enie de demander de l'aide à Takahiro mais bon.

- Euh ... tu pourrais me passer mes katanas ?

Elle ne le regardait pas dans les yeux car pour elle s'était vraiment honteux de se retrouver cloué au sol. Elle ne pouvait pas défaire les racines a mains nue car elles étaient bien trop épaisses et resistantes.

J'écoute Yizu exposer son point de vue sans la couper. Oui il savait déjà tout cela mais un petit rafraîchissement ne faisait jamais de mal à personne, surtout après cette matinée peu banale. J'émet un son gutural pour acquiesser ses dires, et je regarde par terre. Les racines noueuses qui dépassent du sol pourrait nous mettre à terre en un rien de temps. Je n'ai jamais été maladroit, mais l'esprit ailleurs, qui sait ce qui pourrait arriver. La question que me pose Yizu me raidit d'un coup et je manque de me prendre les pieds dans les racines. Je mords ma lèvre inférieure.

- Dis moi Takahiro ... pourquoi avoir rejoint l'organisation ? Je demande sa juste par curiosité ....

Comment lui expliquer sans parler de ma vie privée ? Je cherche un moyen de lui en dire un maximum. Un lourd silence s'abat pendant que je cherche mes mots. Finalement, je décide de me lancer prudemment.

- J'ai connu trop d'injustice...que je sois directement la victime ou que des proches ou des étrangers en souffrent sous mes yeux...tous les puissants de ce monde qui profitent de leur pouvoir pour règner en maître et priver les autres de leur libre arbitre...je veux les écraser...je ne veux plus en voir un seul...je ne me prétend le maître de personne...mais...tous ces Kage...ils m'insupportent...

Je revois en un éclair le visage du Kazekage qui m'a prit mes parents et ma fiancée. Je sens mon visage se crisper et le sang battre à mes oreilles, et d'un coup, j'inspire, j'expire et je me calme. À chaque fois que je pense à lui je réagis comme cela. Il faudrait vraiment que j'y trouve remède. Si en mission ça m'arrive je serais en danger.

- Je...

Je suis coupé par un bruit mat. Perdu dans mes pensées haineuses je n'avait pas fait attention au fait que Yizu me suivait. Je me retourne et ne la vois plus. Ah si ! Elle est juste à mes pieds, emmèlée dans des racines, la cheville apparemment coincée. J'hausse les sourcils, surpris, et quand elle me demande les katanas, mon premier réflexe est de me pencher vers elle et de la sortir de ce pétrin sans lui faire mal. Je la relève, me penche sur le coté pour prendre les katanas, et les garde en main le temps de la stabiliser.

- Ca va ? Tu ne t'es pas fait mal au moins ?

Je la garde un peu dans mes bras, la porte légèrement et la remet en terrain sur, dans un peu trou de terre, dénué de racine. Je me rend compte que je la garde un peu trop longtemps dans mes bras, je sens mes joues chauffer et m'écarte vivement. Le problème, c'était que le hâvre de terre était légèrement trop étroit, alors à mon tour, je trébuchait et tombait en arrière sur les fesses, un air éberlué sur le visage et les joues toujorus rouges. Du moins je pense puisqu'elles brulent un peu. Je regarde Yizu avec de grands yeux, pouffe de rire et finalement, rit de bon coeur, face au ridicule de la situation.

- Hahaha...même pas capable de se sauver lui-même...le grand Takahiro...

Pour l'aider Takahiro prit Yizu dans ses bras et la mena sur un petit tas de terre un peu plus loin. Normalement Yizu aurait été gêné par son geste mais elle avait maintenant comprit que ce n'étai pas méchant ni déplacé de sa part, c'était juste pour l'aider, et puis Takahiro était comme sa elle devait si faire et c'est ce qu'elle faisait. Elle ne dit donc rien et n'épprouva presque plus aucun gêne. C'était juste qu'elle n'était pas habitué à sa. Il la posa donc à terre maintenant et lui rendit ses katanas. Elle les rangea immédiatement dans leurs fourreaux. Elle releva ensuite le regard sur Takahiro mais au même moment il tomba sur le sol, lui aussi c'était fait avoir par les racines qui étaient sur le sol. Decidement c'était une journée bien spécial. Sa passait du rire au larmes. D'ailleurs en parlant de rire, Takahiro lui était en larmes. Il explosa de rire, Yizu eu du mal à croire que c'était lui elle ne l'avait jamais vu ainsi. Et d'ailleurs elle aussi se mit à rire, pas autant que lui, mais la situation était tellement comique que c'était dur de ce retenir. Deux membres de l'organisation Jogoku Chijou, de grand assassin, qui se cassait la figure à cause de simple racines, s'était pitoyable, mais pitoyablement marrant.

Yizu finit par tendre sa main à Takahiro pour qu'à son tour il se redresse, il lui prit la main et se releva avec difficultés. Yizu lui tint la main un moment le regardant, tout les deux souriait. Mais elle lui lacha la main et regarda ailleurs. Le sol était plein de racines, ils allaient devoir se méfier de la où ils allaient mettre les pieds. Yizu une fois qu'elle eu relever Takahiro commença lentement à marcher. C'était impressionnant, elle n'avait jamais vu un sol pareil, la nature avait prit le dessus dans cette endroit. Apparement les hommes ni venaient pas , et c'est d'ailleurs pour cela que la nature c'était tant développé. Mais bon il fallait bien qu'ils rentrent et ce chemin était le plus tranquil et le plus rapide, alors il vallait mieu le prendre.

Yizu allait beaucoup mieu tout ses soucis s'étaient dissipésn elle avançait tranquillement et le coeur plus léger qu'avant. Elle ne souriait plus et avait retrouvé un visage normal mais sa ne changeait pas le bien être qu'elle resentait. La jeune ninja remarqua que plus ils avançaient plus le passage étaient complexe, decidement ils n'avaient pas choisit la facilité. Ils auraient mieu fait de prendre la route que de vouloir couper pour aller plus vite. Yizu eu un léger sourire qui fut très discret.

- Voilà notre prochaine mission ... elle sera peut-être plus compliqué que les autres ... réussir à franchir cette faune ...

Oui, pour une fois elle faisait de l'humour, est-ce que sa lui allait ? Elle n'en savait rien mais avait envie de dire sa, c'était sortit tout seul. Ce sentiment de légèreté et de calme lui plaisait et lui faisait dire des choses simple qui lui traversait l'esprit.

- A ce train là nous serons pas rentrés avant des années ...

Elle continuait sur l'humour, elle allait peut-être arreter maintenant sinon sa allait peut-être faire trop. Mais bon pour une fois qu'elle plaisantait. Elle cessa maintenant de rire et laissa son petit sourire disparaître, elle était trop concentré aux endroits où elle mettait ses pieds.

Finalement après 15 minutes de marches, elle relacha son attention et jeta un rapide coup d'oeil sur Takahiro qui se tenait à côté d'elle, elle voulait voir comment il s'en sortait. Mais évidement comme elle ne faisait plus attention à ce qu'elle faisait elle perdit l'équilibre. Dans sa chute elle tomba sur Takahiro, elle s'accrocha à lui et l'entraîna dans sa chute. Tout deux étaient maintenant allongé à terre, Yizu était sur Takahiro et le gênait pour se relever. Yizu ne se releva pas tout de suite, un peu surprise de sa nouvelle chute, décidement il fallait qu'elle aille se coucher histoire de récupérer. Quand elle se rendit compte qu'elle était allongée sur Takahiro, elle ouvrit grand les yeux. Elle était à quelques centimètres de son visage et lui aussi la regardait dans les yeux. Elle n'eu même pas le reflexe de bouger elle était un peu comme téthaniser.

- Euh ... je suis tombée ...

Cette phrase était un peu comme un pardon, mais Yiz ne disait jamais pardon c'était toujours autremnt qu'elle voulait le faire comprendre.Elle ne c'était pas encore relevée et était toujours aussi près de lui. Elle le regarda un instant puis commença à essayée de se relever pour ne pas à avoir être aussi près de lui, mais se relever était assez dur dans cet endroit ...

C'est mon tour de me faire relever. J'accepte l'aide de Yizu comme elle a accepté la mienne. D'ailleurs, c'est étrange qu'elle se soit laissé faire de la sorte. S'habituerait-elle à moi ? Elle me regarde en souriant et je lui rend son sourire. C'est un petit sourire mais je pense que c'est déjà un exploit. Elle se remet en route en faisant attention où elle met les pieds. Je la suit en faisant de même, marchant plus sur les racines qu'à coté pour essayer d'eviter un nouvel échec cuisant. Yizy m'impressionne. La voilà qui se met de l'humour auquel je rit de bon coeur.

- Voilà notre prochaine mission ... elle sera peut-être plus compliqué que les autres ... réussir à franchir cette faune ...
- Mmmmh cela risque d'être très difficile il est vrai...

Elle continue. Décidement l'ambiance s'est nettement réchauffée depuis tout à l'heure. Je la préfère comme ça. Elle est drôle et décontractée. Cela fait si longtemps que je n'ai pas ressentit cela. Insouciance et joie. Je les avais oubliés ceux-là.

- A ce train là nous serons pas rentrés avant des années ...
- Hahaha ! On sera morts de vieillesse avant d'arriver au conseil...

Je regarde tantôt à mes pieds, tantôt devant moi pour savoir où je vais. Un eimpression étrange s'empare de moi. J'ai un pressentiment mais je ne sas pas encore s'il est bon ou mauvais. Je regarde autour de moi d'un air neutre. Rien à signaler. Pourtant il m'avais semblé que...Un poids contre moi. Je me sens tomber et je ne peux rien faire contre. Finalement, Yizu se sert de moi comme matelat pour amortir sa chute. Je me retrouve sur le dos et elle sur....moi.

Elle me regarde droit dans les yeux à quelques centimètres de mon visage. Elle est tellement belle. Je sens mon coeur s'emballer d'un coup. Une douleur s'empare de mon bras droit mais j'en fait fit pour le moment, trop surpris de la voir ainsi sur moi. Elle rougit de gêne mais n'arrive pas à se relever...moi non plus d'ailleurs. La douleur s'intensifie mais c'est comme si quelque chose m'empêchait de la ressentir. C'est non seulement la vue de Yizu dans cette position, mais autre chose en même temps. Je regarde mon bras droit. Il est coincé entre deux racines bien refermées sur lui. Je fronce les sourcils et tire un peu dessus pour le dégager. Je retiens un cri et me redresse un peu. Le tissus s'est déchiré. Ca pisse le sang. Des racines coupantes ? Impossible j'ai Jamais vu ça.

- Yizu...relèves-toi....

Je l'aide à le faire en la laissant s'appuyer sur ma main gauche, ce qui me permet ensuite de me mettre à genoux. Ca fait un mal de chien mais je ne comprend pas. Je tire encore sur mon bras et les racines me lacèrent la chair sur toute la longeur de mon avant bras. Je ne comprend pas. Je regarde mon bras enfin dégager. Le sang goutte au sol. Je le tient de ma main gauche et je regarde la forme des blessures. C'est comme si quelqu'un ou quelque chose m'avait mordu. Mais les machoires sont énorme et vu les marques...en fer. Mon pressentiment se vérifie. Je fais signe à Yizu de ne pas bouger. Je me concentre malgré la douleur, fait le signe de ma main valide et m'écrie :

- Kai ! Dispersion d'illusion !

J'écarquille les yeux. Nous sommes toujours dans la forêt mais les racines ont disparu, laissant place à un champ de pièges en tout genre. Je regarde à mes pieds et me rend compte que je viens de retirer mon bras d'un piège à loup. Je regarde Yizu d'un air inquiet, demandant ce qu'elle pensait de tout cela. Puis je regarde les alentours, et derrière nous. Depuis tout à l'heure nous évitons au petit bonheur la chance un monticule de pièges dissimulés dans une illusion. C'est tellement grossier comme travail comment aurait-on pu se faire avoir de la sorte ?

Je pousse un grognement sourd et déchire ce qui reste du lambezau imbibé de sang de ma manche droite et m'en fait un bandage de fortune, puis, concentrant mon chakkra dans mes pieds, je pose mes pas sur le tronc le plus proche et grimpe jusqu'à une grosse branche pour mieux scruter les environs. On nous aura attendu ici ? Impossible. Des chasseurs de prime ? Il est vrai que même si notre organisation est tenue secrète, nous sommes tous recherchés en tant que déserteurs. Ce Kage aurait-il laissé filer des informations à notre sujet ?

Je ne parle plus mais m'eprime simplement par mon regard. On soignera ma vilaine plaie à Ame. J'espère ne pas perdre trop de sang d'ici là. Il faut que l'on se déplace en hauteur pour voir venir une potentielle attaque de loin. C'est dommage tout était si paisible jusque là. Nous sommes constemment traqués il faut se rendre à l'évidence. La paix n'est pas faite pour des gens comme nous. J'aurais tellement voulu que Yizu reste plus longtemps ainsi. Je m'élance et nous courons d'arbre en arbre en direction de l'orée des bois.

Yizu put voir une fois que Takahiro c'était relevé que son bras était ensanglanté. Après la disparission de l'illusion, on put voir que le terrain était bien plus différent qu'il ne l'était. Ils étaient belle et bien tombé dans un piège, qu'elle humilation d'avoir été pris si naïvement dans ce gêtapant. Heureusement ils s'en sortaient bien, il n'y avait que le bras de Takahiro qui était amoché, sa aurait put être bien pire. Enfin maintenant que Yizu voyait dans quel genre de situation ils se trouvaient elle n'allait plus baisser sa garde, et n'allait surtout plus perdre son temps à plaisanter et rigoler. Après avoir découvert dans quel situation ils étaient il était évident qu'elle était redevenu elle même.

Yizu devait s'avouer que c'était étonnant que quelqu'n est pensé qu'ils passeraient pas là. Justement ils passaient par la pour être tranquil et ce n'était pas le cas à cause de ses stupides pièges. La personne qui avait voulut les piéger devait être maline, mais apparement pas assez car il ne s'étaient pas fait totalement avoir. Takahiro avait dissoue le genjutsu. Yizu s'approcha de Takahiro alors qu'il était sur la branche d'un arbre. Il avait bandé son bras du mieu qu'il pouvait pour le moment. Ce n'était pas le plus important finaleme,t, le plus important était de rentrer à Ame, c'est une fois là-ba qu'ils analyseront se qui c'est passé et c'est aussi là-bas que le bras de Takahiro sera soigné. Car maintenant que le genjutsu est dissipé il est possible qu'il subisse une autre attaque, c'est vrai qu'ils sont très fort mais il vaut mieu toujours éviter ce genre de situation surotut quand elles ne sont pas prévus. Et puis Takahiro commence à se vider de son sang, il vaudrait mieu guérir ses plaies et le reste ce réglerais plus tard.

Yizu ne pouvait pas faire grand chose pour Takahiro et elle en était consciente. Ils se trouvaient tous deux perchés sur le haut d'un arbre. Il étaient temps de reprendre la route et d'aller un peu plus vite que précèdement, et ce par prudence.

- Il est possible que ce qui ont fait sa ne soient pas loin, il vaut mieu rentrer à Ame tout de suite et rapidement. Ton bras est amoché, tu perd ton sang, il faut soigner ça ! ...

Yizu lui lança un dernier regard et s'élança d'arbres en arbres. Le pas était accéléré, Yizu n'avait pas peur des personnes qui avaienent put vouloir les capturer mais elle ne voulait pas d'embrouille pour le moment. Et d'après elle ces gens ne devaient pas être puissant car sinon ils seraient venues se battrent directement, ils n'auraient pas cherchés à les blesser pour les rendre plus vulnérable, enfin bref quoi qu'il en soit il fallait rentrer. Une fois arrivée, ils auraient du temps pour soigner son bras qui avait reçu de profonde entaille du au piège à loup.

Tout en avançant Yizu regardait drrrière elle, elle ne voyait rien et ne sentait rien. Elle avait beau avoir très envie de rentrer elle avait aussi très envie de savoir qui avait fait ça. De toute façon sa n'allait pas rester impuni, elle même voulait connaître le coupable, mais elle supposait que Takahiro serait de son avis, elle doutait qu'il soit du genre à se laisser faire. Tout en avançant Yizu pouvait sentir qu'une légère pluie tombait sur eux, ils approchaient d'Ame ils n'en étaient vraiment pas loin et le mauvais temps serrait la pour les accueillir. Malgré son bras blessé Takahiro avançait bien, sa vitesse était la même de Yizu mais elle voyait que ce bras mutilé le gênait et même le faisait souffrir se qui était normal. Takahiro tout comme Yizu ne devait pas avoir l'habitude d'être blesser, car pendant un combat il était rare qu'ils se fassent blesser, et la cétait exceptionel, c'était un accident.

Maintenant, les deux ninjas arrivaient à Ame, ils allaient pouvoir se reposer de leur course et soigner le bras de Takahiro. Ils pourraient ensuite chercher à savoir se qui leur étaient arriver. Le prochain conseil allait aussi bientôt avoir lieu.

» Absence de Yizu !
» Le jardin intérieur [pv Yizu]
» Enfin chez nous [pv Yizu]
» [suite] Un matin serein [Yizu + libre...]