Deidara

[b']Concernant le personnage :[b']

Nom : Inconnu

Prénom : Deidara

Âge : 26 ans

Village désiré : Akatsuki (hé oui, de nouveau )

Affinité : Katon + Doton = Magma

Histoire du personnage :

Deidara est né dans le village d'Ame No Kuni, le même que celui de pein. Il est le fils de 2 paysans soit disant morts lors d'une "bataille", mensonge énorme. Deidara sait bien qu'ils ont étés éliminés sous l'ordre du chef du village parce qu'il les trouvait trop curieux. Chose avec laquelle Deidara était d'accord. C'est pour cela que les shinobis meurtriers lui laissèrent la vie sauve. Cependant, Deidara devint vite un très grand combattant et les assassina quelques années plus tard pour avoir eu "pitié" de lui. Dans sa jeunesse, il devint également un terroriste rattaché à un commando travaillant pour le compte d'Iwa, spécialisé dans les attentats à la bombe chez les pays voisins. A cet instant, il considéra tous ses actes de guerre comme de l'art. Il apprit à se servir de son don héréditaire à son avantage. Les deux grandes bouches situées dans chacune de ses mains lui servirent de "réserve" d'argile, où il pouvait prélever un peu de cette matière qu'est l'argile pour sculpter des animaux et sans servir pour se transporter ou tout simplement comme arme de combat. Il n'était jusque là qu'un simple shinobi sadique et douteux lorsqu'il rencontra Itachi Uchiwa.
A ce moment précis, lors de ce combat, son admiration pour lui même et son égaux prirent un sacré coup. Deidara découvrit le Sharingan, pupille qu'il qualifie de supérieur à son propre art. Suite à sa défaite, il fut contraint de rejoindre l'organisation de l'aube, Akatsuki. Depuis, il cache une haine puissante mais secrète envers le Uchiwa. Il se mit à s'entraîner des années pour que son oeil gauche puisse déjouer n'importe quel jutsu.
Il fait équipe avec Sasori (qu'il apprécie). Ils ont tout deux de l'admiration pour l'art bien que leurs façons de le concevoir et de l'admirer soient différentes. A la mort de celui-ci, il fut obligé de faire équipe avec Tobi, un shinobi qui parait faible mais qui cache bien son jeu. Deidara pique souvent des colères contre lui face à son caractère de "gamin", notamment au moment de capturer Nibi, où il est obligé de l'aider.[/b]

Par la suite, Deidara se retrouve emprisoné comme tout les autres membres de l'organisation de l'aube, dans les prisons de Suna.

Souvenirs :

[b]Il fait nuit. Papa ma demandé d'aller me coucher. Alors que maman et moi n'avions pas fini de manger, papa nous a laisser, rouspétant comme d'habitude et sortant rentrer le bétail. Il veut que je reprenne ses bêtes à sa mort, hors de question. Je finis donc de manger avec maman. Elle me sourit et comme à son habitude, elle me câline et me demande d'aller mettre mon pyjama et d'aller me coucher. Je hais ce pyjama. Je hais tous les pyjamas. Je fais mine de le mettre et de dormir avec, mais en fait, je remet mon pantalon et dors torse nu. Il fait si chaud la nuit. Maman le sait, je le sais, mais elle ne dit rien. Alors que j'allais suivre le même chemin que tout les soirs, je me retourne et l'observe avant de lui demander :

" - Maman, que voulaient les hommes de tout à l'heure ? Ceux qui avaient de grands sabres ? Pourquoi nous on-t-il traité de monstres ? Moi j'aime ces bouches, au milieu de mes mains. "

A ce moment, alors qu'elle débarrassait la vaisselle, elle resta figée, laissant tomber à terre couverts et assiettes. Elle reprend ses esprits et me frappe violemment. Jamais elle ne m'avait frappé. Je sens ma joue chaude, quelque chose coule de mon oeil droit, là où elle m'a frappé. Je reste immobile, bouche ouverte, les yeux grands ouverts. Je ne sais pas si c'est la douleur qui me fige ou bien le fait que je sois vexé. Elle se met à hurler.

" - Ces mains sont un malheur pour nous Deidara ! Va dans ta chambre stupide enfant ! "

J'ai à peine la force de bouger. Je parviens à ma chambre, m'assois devant un tableau que j'ai fait 2 jours au paravent. Un vrai modèle d'art. Il me réconforte. Je passe l'une de mes mains le long de ma joue. Je reste encore plus choqué et effrayé que quelques instants au parant : du sang. Elle m'avait frappé si violemment, que du sang coulait le long de ma joue, provenant de mon oeil. Je me mis à gémir, me rendant compte que la douleur physique n'était rien comportée à la douleur psychologique. Je me relevais et allais à la fenêtre. Il faisait déjà nuit, moment de pleine lune. Quelle beauté. J'entend la porte s'ouvrir puis se refermé. Le bétail est rentré. Je ne respire plus, plus aucun geste de vie. J'écoute.

" - Ce sale gosse, dit ma mère, il prend notre malheur pour un bienfait !

Mon père explose alors

- QUOI ?! ATTEND JE VAIS LUI APPRENDRE MOI ! "

Un violent bruit pesant sur le parquet qui mène à ma chambre. Je me tiens maintenant devant la porte. Il arrive, furieux. Je recule, il avance. Soudain, il glisse dans la marre de sang que j'avais accidentellement produite en restant devant la porte, et tombe violemment à terre. Il s'approche grognant, plus énervé que jamais. Je recule et percute quelque chose. Je tombe sur mon lit et au moment où il allait me frapper, son geste se stoppa, son visage resta crispé. En une demie fraction de seconde, son corps tomba, séparé en deux, chaque partie de son coté, laissant jaillir une flopé gigantesque de sang qui atterrit sur moi. Je pus distinguer une ombre derrière le cadavre : un des hommes de cette après-midi. Il me regarde, sévère. Un autre, un chef apparemment, arrive dans la pièce :

" - Laisse-le. Le chef a dit de ne pas le toucher lui ! "

L'autre obéit et disparaît. Je reste sur place un long moment, essayant de me ressaisir. En moins de 5 minutes, j'ai faillit être tué 2 fois. Je me lève, esquive les moitiés de corps de l'homme qui était mon père mais que j'ignorais. Arrivé dans la cuisine, je vis le corps de cette femme, gisant à terre également. Puis, j'entendis un léger bruit de mouvement derrière moi. Je me retournais furtivement, décider à me battre pour sauver ma vie. Après tout, dieu m'avait sauvé 2 fois. Le shinobi masqué qui se tenait sur les pointes des pieds devant moi, bras croisé, me dit quelques mots calmement et doucement.

" - Deidara, viens avec moi ! Prend tes affaires les plus précieuses et rejoint moi.

J’obéis. Il ne bougea pas d'un poil (je le surveillais toute les 2 minutes). Je fis un sac rapide et le rejoignit dans la cuisine.

- Le kage du village m'a demandé de te poser une question ! Ta réponse, déterminera si ta vie doit oui ou non s'écourter ici ...

Peu m'importais. J'avais un couteau dans ma main droite, caché dans une poche de mon pantalon.

- ... Inutile de te servir de ce truc stupide. Ce n'est pas un canif qui te sauvera. Bref, que comptes-tu faire de tes mains ?

Je restais surpris. Question étrange non ? Mes mains n'étaient pas si spéciales. Je les regardais, lâchant mon couteau. Je répondis avec la réponse la plus insolente qui soit.

- M'entraîner et faire d'elles un atout légendaires ... "

Le shinobi ne réagit pas. Il se contenta de me faire signe et m'emmena loin de cette maison infernale ...

8 ans plus tard ...

[b]Le soleil passait à travers les stores fermés. Les rayons se reflétaient sur mon bandeau de shinobi et se dirigeaient sur mon visage. Je me réveillais, me redressais, me frottais les yeux et m'asseyais au bord de mon lit. J'avais maintenant 12 ans. Cela faisait 8 ans que je vivais avec les shinobis de mon village, dans un quartier réservé aux shinobis sans domicile. Ceux-ci, étaient à disposition du kage à toute heure du jour ou de la nuit. J'en faisais partit. A 6 ans, j'étais sortis premier de l'académie ninja et l'on m'avait confié au shinobi mystérieux qui m'avait "enlevé" de l'enfer de chez moi. Ca faisait 2 ans que je ne l'avais pas aperçu. J'appris que j'étais seul dans l'équipe 1, mis à part mon senseï. Quelques temps après, on me dit son nom. Tous les matins, dés 5 heures, je me levais et allais m’entraîner à ses cotés. Il m'apprit que le chef du village, Jikubo-sama, m'avait mis sous sa responsabilitée pour faire de moi une arme puissante du village. Ce matin n'était pas une exception ! Je me levais, m'habillais, me lavais et enfilais mon bandeau sur mon front. Je quittais ma chambre. J'étais le seul debout. Je regardais mes mains avant de sortir. Mon senseï m'avait enseigner une technique qui mettait particulière. En effet, il avait eu l'idée de stoquer de l'argile dans les bouches de mes mains. Etant de nature doué en sculpture, il me dit de prélever un peu de cette matière et de sculpter des animaux. J'arrivais à les rendre "vivants" et obéissant. La plupart explosaient au contact de l'ennemi à mon signal, d'autre me servait à me déplacer. Je sortais. Hirosuke-senseï se tenait debout sur la pointe des pieds, bras croisés, comme à son habitude. Nous partîmes dans la clairière. Je m'attendais à subir mon entraînement normal, jusqu'à midi, mais en fait, au lieu de se préparer et de m'expliquer en quoi consistait l'entraînement d'aujourd'hui, mon maître s'assis, m'observa, et me fit signe de faire la même chose. Nous restâmes deux minutes dans le silence à nous regarder. Il prit la parole :

" - Deidara, tu es mon disciple le plus puissant.J'ai dans l'idée de te faire intégrer mon escouade. Tu deviendrai ainsi un ... une sorte de terroriste puissant et respecté. Tes explosions spectaculaires pourraient détruire un village entier en un rien de temps. J'ai pu moi-même observer tes capacités ... ne nie pas la vérité. "

Deux jours plus tard, je me retrouvais à la tête d'une escouade. Ma première mission était de détruire un village proche d'Ame, qui rivalisait avec par la puissance économique. 2 minutes, c'est le temps qu'il me fallut à moi seul. Je trouvais mes explosions spectaculaires et très artistiques. Tellement, qu'au bout de tant de bataille gagnée, je m'ennuyais et décidais de me fixer un nouveau but : celui de gagner chaque combat d'une façon plus artistique les unes que les autres. Ce que je réussis d'ailleurs très bien. Puis, mon senseï vint à mourir et je me retrouvais seul dans Ame, un peu perdu. On m'utilisa souvent dans les guerres jusqu'au jour où je dus affronter Itachi Uchiwa, un ennemi puissant et redoutable. Alors que je traînais dans une des forêts de Ame, un homme habillé d'une veste noire tachetée de nuages rouges et portant un chapeau de paille se présenta face à moi. Il avait du verni violet sur les ongles. Il pointa son index sur moi.

" - Viens avec moi ! Akatsuki te désire !

Je ne comprenais rien à son charabia.

- Qu'est-ce que tu dis ? C'est du n'importe quoi ! Et puis d'abord, c'est qui Akatsuki ?

- Akatsuki est une organisation qui oeuvre pour créer un nouveau monde ! "

Il continua de m'expliquer plus en détails. Il me proposa même de me battre avec lui. S'il gagnait je le suivais, si je gagnais, il mourrait. Il gagna le combat. Je le suivis donc à l'Akatsuki, vexé d'avoir perdu face à lui mais également énerver. Il possédait un don héréditaire hors du commun : le sharingan. Cette pupille lui permettait d'anticiper et de comprendre chacune de mes techniques. Il était bien plus artistique que moi. Depuis, je nourris une haine ardente et cachée en moi.

Personalité :

Deidara est un homme qui voue corps et âme à l'art. Il le décrit à sa façon. Il est plutôt calme et facilement corruptible. Il aime beaucoup combattre à sa façon, c'est-à-dire ... en explosion. Deidara dit souvent que « l'art est une explosion », c'est à dire vouée à une existence rapide mais tellement éclatante qu'elle marque durablement les esprits. Il cache une haine secrète et profonde envers Itachi, car il fut vaincu par lui et considère son sharingan comme un art supérieurau sien. Il reste souvent au calme mais préfère les sensations fortes sans pour autant prendre de risque.

1ere partie : le quotidien.

« - C’est l’heure de la bouffe ! »

La grosse voix du cuisinier de la prison retentissait tous les midis dans le bâtiment. De la nourriture infecte, que j’aurais aimé ne jamais goûter. Les premiers jours, j’avais refusé de manger, puis par la suite, j’avais cédé sous la demande de mon estomac éploré. Des haricots trop cuits et du poulet traîné dans la terre … c’était le menu d’aujourd’hui. Tu avais beau te dire que c’était mieux que rien, le dégoût reprenait le dessus, et avec raison. Si seulement cette alliance n’avait pas eu lieu … je ne serais pas ici ! Cette idée m’insupporta au point que mon point partit valdinguer dans le mur. J’étais assis, par terre, sur les vieilles briques grises et sales de ma cellule. J’étais ainsi depuis mon incarcération. Le cuisinier passa devant moi et posa l’assiette à terre. Cette sale assiette maudite. Il me regarda et m’insulta comme à son habitude. Cette fois, je refusais de manger de la nourriture pour porc et autres bêtes de ferme. Les conditions étaient pitoyables et donnaient envies de vomir. Il faisait souvent froid ici. On m’avait arrêté à moitié déshabillé après la bataille. Mon pantalon était plein de trous, j’étais en tee-shirt, mes sandales étaient abîmées et mes longs cheveux sentaient la terre souillée. Le vent était glacial et habituel à Suna. Je le regrettais, ce bon vieux manteau aux nuages rouges d’Akatsuki. Le soir arriva plus vite que les explosions produites par mes créations. La nuit, les insectes sortaient et venaient vous mordiller la chaire, dans votre sommeil. Je m’endormais, toujours assis, sous la petite fenêtre de ma cellule.

2eme partie : évasion.

Le matin, la nuit avait été courte mais agréable, enfin, agréable dans la mesure du possible bien sur. Pas de petit déjeuner pour moi ce matin. Les gardes n’avaient pas envie. Alors que je flânais à repenser à mon chemin passé, une petite chose attira mon attention. Cela faisait si longtemps que je n’avais pas toucher d’argile explosive. Mes mains en étaient fatiguées. Je me levais, pour la première fois. Ce petit bruit, je le connaissais bien. C’était celui des petits oiseaux qu’un commerçant dressait. Il avait été à mes services longtemps, avant l’accident de la grotte. L’oiseau passa à travers la grille, lâcha un petit paquet et repartit aussitôt. Je l’observais, me demandant ce qu’il manigançait. Puis, e m’asseyais de nouveau et m’empressais d’ouvrir le petit sac. Je fus agréablement surpris en observant le contenu : de l’argile explosive. Un petit papier y avait été glissé : « A mon asseyais vénéré, de la part de son fournisseur habituel, signé Hiroshi ». Je m’empressais de la mettre dans mes mains.

Le repas de midi sonna de nouveau. Le petit chariot défila devant moi. Le cuisinier m’insulta, comme à son habitude, et continua sa marche. J’en profitais pour envoyer un petit oiseau furtif explosif dans son chariot. Les gardes le suivaient. Je m’empressais de démonter mon lit, et mettais un peu d’argile devant ma porte. Ensuite, je partais me blottir dans un coin de la cellule, caché par mon lit. Quelques secondes après, le chariot explosa, provoquant l’alarme et par la même occasion, le rassemblement des gardes, devant ma cellule. Après tout, j’étais une personnalité. La serrure explosa, tuant la majeure partie des gardes. J’envoyais le lit sur les autres et courais, cherchant maladroitement la sortie de ce labyrinthe. Il me restait suffisamment d’argile pour faire un oiseau capable de me porter jusqu’à l’ancienne grotte. Je rencontrais un petit groupe de shinobis et un combat de taijutsu commença. J’en sortis vainqueur, avec de nombreuses blessures. Finalement, je récupérais une douzaine de bombes sur les ninjas du sables étalés par terre et fis exploser un mur. Je m’approchais et constatais que la hauteur entre le désert et moi était plus que considérable. Je me retournais et vis tout un tas de gardes décidés à me régler mon compte. Pas le choix ! J’utilisais ma dernière dose d’argile et m’envolais au- dessus du désert de sable.

3eme partie : fuite en perspective.

J’avais pris un peu d’avance sur les shinobis de Suna. Malgré ça, j’étais dans un état critique. Alors que je croyais être sortit d’affaire, un groupe d’une vingtaine de shinobi surgit devant moi, je reconnu avec meffroids le Kazekage. L’affrontement était pour moi impossible. Je scrutais les horizons. La forêt menant au souterrain conduisant à la grotte était proche. Je feintais de vouloir passer le tas de ninjas, et sautais de mon oiseau, qui alla exploser au milieu de mes ennemis. Je terminais ma course sur une jambe. Je saisis un bâton à fin de m’aider à avancer : ma jambe droite semblait cassée par la chute. Je traversais le long souterrain et me retrouvais devant l’ancienne grotte de l’organisation, dévastée et réduite en cendre …

[Je tiens à signaler que je suis le créateur du thème du fofo et que je suis heureux qu'il vous plaise ^^]

J'accepte la présentation, Je demande juste a Isao de confirmé ou de contredire ma Validation pour Ton integration au RP

je donnerais le Grade d'ex membre d'Akatsuki Niveau 7

Parfais merci Very Happy

Juste une question, du coup je suis un simple ninja hèrrant c'est ça ?

Ba j'attends la réponse de Isao pour te validée définitivement.

Sinon, Oui tu sera un ninja errant mais pas simple tu a le privilège de pouvoir créer un groupe de ninja errant et tu es poursuivi par les grand village pour te renfermer en prison... (donc le mieux serais de t'entourer de ninja puissant pour d'aidé a survivre)

D'accord. Merci =)

Ok pour le rang mais les technique que tu possédera ne sera que les explosifs !
Validé.